Daimoku
de Pratique, Daimoku de foi
Dans l'automne de 1996, M.
T, qui avait environ quarante ans, passa par une chirurgie pour une tumeur
dans son cerveau. Les chirurgiens ne purent pas enlever la tumeur complètement.
Sa femme entra dans la SGI espérant d'avoir une guérison
rapide pour son mari.
Dans l'été
1997, les maux de tête de M. T devinrent pire, et il commença
à avoir des convulsions constantes.
Les docteurs dirent à
Mme. T que, même si la tumeur ne s'était pas répandue,
il souffrait de ces symptômes parce que de l'eau s'était accumulée
dans son cerveau, et une autre chirurgie était nécessaire.
M. T pouvait à peine marcher et son parler était limité
à des sons inarticulés.
Mme. T dit à son responsable
de district qu'elle avait récité Daimoku pour la guérison
de son mari, mais qu'il n'améliorait pas.
Le responsable de district
parla avec un membre de la Division des Infirmières. L'infirmière
lui dit Le fait que la tumeur ne se soit pas répandue est déjà
un bénéfice du Daimoku. C'est vraiment remarquable. Les questions
de Mme T si son mari va vraiment guérir, ou si ses prières
sont vraiment efficaces sont simplement des barrières qu'elle a
crée dans sa propre vie. Mais il n'y a pas de barrière, pas
de limite, au grand pouvoir du Daimoku. Maintenant est le temps pour qu'elle
offre une forte prière. C'est une question de surmonter n'importe
quelle sensation de confusion ou de doute, et d'offrir une prière
à cur ouvert avec la plus grande détermination et la plus
grande mise à feu possibles. Elle doit prier de façon à
envoyer un rayon de Daimoku à la partie malade.
Quand le responsable de district
lui raconta ce que l'infirmière lui avait dit, Mme T eut encore
plus d'énergie. Ce soir-là, il y eut un changement dans la
situation de M. T. Il commença soudain à produire plus d'urine,
et un flot continu de larmes et de fluide commença à sortir
de son nez et de ses yeux. Tellement que son coussin devint complètement
mouillé.
Cela dura trois jours. Le
quatrième, il commença à montrer des signaux surprenants
d'amélioration. Il pouvait parler normalement avec les membres de
sa famille et pouvait marcher sans aide. Les docteurs étaient surpris
par le changement de sa condition et lui firent d'autres examens. Ils conclurent
qu'il s'était complètement rétabli et qu'une opération
n'était plus nécessaire.
M. T se rétablit complètement.
Voyant cela, son fils, qui était en sixième, dit Le Daimoku
est incroyable! Je veux aussi entrer dans la Soka Gakkaï. Je veux
commencer immédiatement. Il parla à sa sur, qui était
au primaire, pour la faire commencer à pratiquer le Bouddhisme,
et les frères entèrent ensemble dans la Gakkaï.
[Cette expérience
est racontée dans le Living Buddhism d'octobre, pages 27-29. Elle
fait partie du Dialogue on the Lotus Sutra]
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